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Tribune

Cap ou pas cap ? !

par un contributeur 8 juillet 2020
écrit par un contributeur

 

“Un texte vit grâce à ses lecteurs”. C’est à la faveur de cette petite phrase des plus innocentes que je me retrouve face à vous, en cette soirée orageuse, avec la chaleur tropicale et écrasante d’un mois de mai dans le Delta du Mékong au Vietnam, à écrire. Enfin grâce … parfois je me dis à cause ! Tout ça parce que, pour une fois, j’ai osé dire ce que je pensais sincèrement, j’ai osé dépasser cette petite voix au fond de moi qui me disait habituellement : “Es-tu vraiment sûre de vouloir exprimer ou faire ça ? Es-tu sûre que ce n’est pas stupide ? Es-tu sûre que ça en vaut la peine ? Es-tu sûre que ça va les intéresser ? Es-tu sûre que”. Je pourrais vous faire une liste longue comme le Code Civil qui hantait mes nuits étudiantes ! Mais bon, je ne voudrais pas vous donner l’impression que je vous prends de haut, je suis sûre que vous avez compris. 

 

 

Vous allez vous dire que j’ai été audacieuse, que je me suis engagée dans une cause considérable, un combat emblématique ! Même pas… J’ai tout banalement complimenté l’auteur d’un article. Un commentaire pour un grand journaliste ? Une analyse poussée d’un écrivain de renom ? Non, un simple retour de lecture, un simple besoin de partager mon ressenti, ce que ses mots avaient pu provoquer en moi. Mon but ? L’excitation d’écrire à un quasi inconnu ? Peut être. L’encourager à continuer à ’écrire ? Qui sait. L’envie de connaître un peu plus qui se cachait derrière ce texte ? Sans doute. Pour être franche, je n’en avait pas la moindre idée ! Pour tout vous dire: je ne regrette pas d’être sortie des sentiers battus. Jeune milléniale que je suis, de ne pas avoir cédé à la tentation de double cliquer sur mon smartphone 2.0 pour mettre un simple jaime. D’avoir tout bonnement partagé son article dans ma enième story Instagram. Où même pire, d’avoir remis à plus tard – comme ma génération Y et moi même savons si bien le faire – ce partage de lecture. 

Non, cette fois j’ai fais le grand saut, enfin plutôt le petit, car le grand saut c’est là, maintenant, tout de suite, que je le réalise en écrivant ces quelques lignes. Pardon, je m’éparpille. Pour ma défense, ce n’est pas dans mes habitudes d’écrire. Enfin, plutôt d’écrire pour publier. Revenons à nos moutons ou plus exactement à nos sauts ! Retournons à ce petit saut, ce petit pas pour l’humanité et ce grand pas pour moi même. 

 

 

Recommençons du début. C’est vous dire à quel point je me suis éparpillée ! “Un texte vit grâce à ses lecteurs”. Cette phrase m’a fait un petit électrochoc. Elle était pourtant sortie un peu de nul part. Mais pas de n’importe qui. De l’auteur même que j’avais complimenté en amont sur son article. Nous étions en plein débat sur la question de l’écriture. Suite à ma critique positive sur son texte, il m’avait piégé en me demandant si j’écrivais. Vaste question, vaste réponse. 

Amoureuse de lecture que je suis, je ne pouvais me définir comme quelqu’un qui écrit. J’ai bien couché sur le papier quelques pensées, tenté quelques carnets de bord lors de mes différents séjours à l’étranger. Mon côté romantique m’a également fait écrire quelques lettres d’amour. Mais ai-je vraiment écrit ? Après quelques échanges sur cette question infinie de l’écriture, après quelques tournures de phrases plutôt bien faites pour essayer de lui prouver que l’écriture selon moi perdrait toute sa pureté dès lors qu’elle est conçue dans le but d’être publiée, en tâchant de lui faire croire que l’auteur pouvait être lui même le lecteur, j’étais moi même à court d’arguments.  

Ma petite voix était de retour. Sa phrase me revenait sans cesse à l’esprit : “Un texte vit grâce à ses lecteurs”. Elle sonnait dans ma tête comme un “Cap ou pas cap”. Vous savez cette fourberie popularisée par le film Jeux d’enfants avec Marion Cotillard et Guillaume Canet. De leur plus tendre enfance jusqu’à leur mort, ils se lancent des défis à l’aide d’une boîte en métal. Celui qui détient la boîte est le maître du jeu et peut lancer n’importe quel défi, conclu par le fameux “Cap ou pas cap”. Une fois le défi relevé, la boîte était transmise à l’autre et les rôles inversés. 

Alors sa phrase, pour moi, c’était un peu ma boîte en métal. Vous allez me dire “et le Cap ou pas cap, il est où dans ta jolie métaphore ?” Le “Cap ou pas cap” c’était ma petite voix, avec toutes mes questions, mes peurs, mes interrogations… Vous savez, mon Code Civil du début ! L’auteur de l’article m’avait transmis la boite en métal, et je m’étais donnée le “Cap ou pas cap” moi-même. 

 

 

Et voilà, cher lecteur, nous nous rencontrons. Nous voilà aujourd’hui, vous et moi, à faire vivre ce texte. Parce que n’oublions pas qu’”un texte vit grâce à ses lecteurs.”

 Mon prochain saut ? Il est déjà en préparation. Recommencer cet exercice d’écriture, mais avec un sujet donné, avec un cadre peut-être ? Allez, vous pouvez le dire, j’ai été un peu brouillon ! Mais j’ai fais le grand saut. On a fait le grand saut. Auteur et lecteur, ensemble. Alors, on recommence ? “Cap ou pas cap” !

Daphné Fradin 

8 juillet 2020 4 commentaires
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ArtBaudouin Duchange - Chroniques

L’aventure de la boustifaille #1 – Culture Vs Purée

par Baudouin Duchange 16 mai 2020
écrit par Baudouin Duchange
Description : Se perdre dans la purée.



Je vous arrête dès maintenant : oui, la purée de pommes de terre est un sujet dont on peut discuter. Ce n’est pas une question de société taboue. Ni être indélicat que de débattre sur sa qualité. Certains me diront avec raison “C’est politiquement tendu, tu auras des comptes à rendre”. Mais BSFmagazine, c’est l’aventure ! La digression ! La digestion des idées mise en couvert par une réflexion intraitable ! Je traiterai donc de la purée de pommes de terre, n’en déplaise aux plus bornés. 

D’autant plus que c’est ce féculent que j’ai choisi pour m’occuper, en perspective, du sujet de la culture. Pour vous la faire simple : purée maison ou purée Mousline ? Culture élitiste ou kulture Kardashian ? Éternel débat qui trouve probablement sa réponse dans un juste dosage.

 

Description : La meilleure amie des français vient à l’origine du Pérou. Ses anciens habitants, les Incas, l’appelaient “papa” <3 

Description : La meilleure amie des français vient à l’origine du Pérou. Ses anciens habitants, les Incas, l’appelaient “papa” <3

 

Patate trop cuite (ou pourquoi il ne faut pas rendre la culture trop élitiste)

“La bourgeoisie a transformé l’art en culture” critique Pascal Jardin dans La bête à bon Dieu. Cette idée d’une culture institutionnalisée est souvent déglacée dans les discussions mondaines. En la rendant intouchable, en la laissant reposer quelques années dans la poussière intellectuelle, en la plaçant sur un piédestal qu’elle ne mérite pas toujours, le “bourgeois” rend la culture insaisissable. Laurence w. Levine ajouterait probablement : insaisissable pour la “culture d’en bas”. Pour ces deux auteurs, la culture “d’en haut” représente, inconsciemment ou non, un complot créé par l’élite pour conserver la mainmise sur les centres de pouvoir.

Je comprends ces analyses, mais ne les aime pas. Pour mon palais simple d’amateur de purée de pommes de terre, je les trouve trop politisées, trop sociologiques, trop souvent répétées. Comme une sauce industrielle aux arômes chimiques prononcés, ces réflexions masquent l’essentiel : la culture a rendu l’art chiant. Ni plus, ni moins. 

Le danger de momifier l’art via la culture, c’est d’arrêter de le remettre en question, et donc de cesser “d’insérer dans le monde d’aujourd’hui ce qui sera le monde demain” pour reprendre les mots d’Ormesson issus d’ Au revoir et merci. C’est d’ailleurs ce qui inquiète certains spécialistes de l’histoire de l’art qui observent, depuis les année 2010, la fin d’une ère de “transgression permanente” entamée dans les années 70. Symboliquement, celle-ci s’arrête brutalement avec les attentats de Charlie Hebdo. De manière plus diffuse, on remarque que la censure vient désormais des milieux progressistes via des opérations d’intimidation (à lire ici : entretien avec Thomas Schlesser ; le 1 hebdo du 4 mars 2020). La censure se cache toujours derrière un masque d’intérêt général ou pour une cause juste. Un masque est fait pour être enlevé, et pour être brûlé. J’ai beaucoup cité Huysmans dans mon article sur la mort de la peinture. Je me permets de nouveau d’emprunter ses mots : “Ah ! C’est que Dieu merci, nous commençons à désapprendre le respect des gloires convenues”. Continuons à désapprendre en permanence ! 

Désapprendre c’est essayer de nouvelles choses. Par exemple, préparer une purée Mousline par habitude, et puis, un jour, tenter la purée maison.

 

 

Description : Se perdre dans la purée.

Description : Se perdre dans la purée.

 

Patate pas assez cuite  (ou pourquoi la culture ne doit pas s’abaisser au niveau d’une purée Mousline)

Le passage du kitch dans L’Insoutenable Légèreté de l’être de Kundera m’a coupé la faim. Vraiment incroyable. Je vous le dis car c’est l’auteur que nous allons savourer pour accepter que la culture ne peut pas ressembler à Konbini, et qu’une Mousline ne peut pas être considérée comme une purée.

Définition du concept du kitsch par Kundera lui même lors d’une remise de prix : “le mot kitsch désigne l’attitude de celui qui veut plaire à tout prix et au plus grand nombre. Pour plaire, il faut confirmer ce que tout le monde veut entendre, être au service des idées reçues. Le kitsch, c’est la traduction de la bêtise des idées reçues dans le langage de la beauté et de l’émotion… Vu la nécessité impérative de plaire et de gagner ainsi l’attention du plus grand nombre, l’esthétique des mass media est inévitablement celle du kitsch, et au fur et à mesure que les mass media embrassent et infiltrent toute notre vie, le kitsch devient notre esthétique et notre morale quotidienne.”

Pour nous, kitsch = purée Mousline. 

Le kitsch, c’est exactement ce qu’utilise comme modèle économique une entreprise comme Konbini, et maintenant tous les autres médias sur les réseaux. Comment ? En partageant des contenus qui créent, chez les “clients”, un sentiment d’intégration à une communauté grâce à des références communes. Vegan ou carniste ? Ville ou campagne ? Tout le monde est au moins un des deux. En obligeant à se positionner autours d’un sujet “culturel” simple, Konbini crée en plus une forme de morale nauséabonde fondée sur une émotion (“il faut être un monstre pour tuer un bébé mouton” / “les vegans sont des hippies dégénérés”). La conséquence : la création d’une dictature de l’émotion qui impose un point de vue, une morale. Mais ne vous trompez pas, il n’y a pas de complot pour imposer une vision du monde. Il y a seulement l’argent. Car c’est en appliquant le kitsch que Konbini se crée de la visibilité = meilleure monétisation de la pub = plus d’argent. Eh merce la culture !

Jusqu’à un certain point, c’est aussi la manière dont fonctionnaient, par exemple, la propagande des régimes nazis et communistes. Etape 1 : vendre du bonheur en conserve en imposant des références communes et en rassurant grâce à des valeurs fortes. Etape 2 : La morale d’Etat devient la norme, elle est imposée par une propagande. Etape 3 : Tous ceux ne respectant pas cette morale sont des parias. L’objectif, cette fois, n’est pas de gagner de l’argent mais d’imposer une idéologie pour soumettre un peuple. Eh merce la culture !! 

“La fraternité de tous les Hommes ne pourra être fondée sur le kitsch” ajoute Kundera, toujours dans son roman le plus célèbre. Elle ne pourra pas non plus être fondée sur une purée Mousline. 

 

 Une honnête travailleuse soviétique qui promet une récolte de 18 à 20 tonnes de patates par hectare

Une honnête travailleuse soviétique qui promet une récolte de 18 à 20 tonnes de patates par hectare


Conclusion  

J’ai conscience que mes propos peuvent choquer. On ne s’attaque pas impunément à la purée Mousline qui est, pour beaucoup d’entre nous, un souvenir d’enfance joyeux et facétieux.

Purée ou culture, impossible de rester impartial face à ces questions. D’autant plus que, comme le rappel la Reine Elizabeth dans The Crown, “être impartial n’est pas naturel, n’est pas humain”. Elle en sait bien plus que nous, donc restons-en là sur ce sujet ! 

En revanche, je peux vous donner ma recette de purée de pommes de terre maison. Je la trouve parfaite et je la cuisine souvent. L’essentiel est d’avoir un bon fouet, par exemple un électrique, c’est le plus pratique pour atteindre une texture onctueuse.

  • 1 kilo de pommes de terre spéciales purée à cuire dans 400 grammes de lait (poivre et sel à convenance, je n’en mets pas personnellement). 
  • Après 25 minutes de cuisson, mettre une dose généreuse de beurre (au moins 50 grammes pour ma part) et 30 grammes de parmesan. Battre le tout avec un fouet. Ne pas mettre à réchauffer au four, la purée risque de perdre sa texture onctueuse.
  • Une fois la purée ayant une bonne consistance, la manger ! Par exemple, avec du boudin noir cuit au four, ou encore des bonnes côtelettes d’agneaux cuisinés à l’ail.

Et toi ami lecteur, as-tu une recette de purée maison à partager ? Ou bien un avis différent sur la culture ? N’hésites pas à mettre un message en commentaire ou sur les réseaux sociaux ! C’est toujours un plaisir d’échanger !

 

16 mai 2020 0 commentaire
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